Trouvé sur la toile science & trans/fictionnaire...
4 commentaires:
Anonyme
a dit…
Compulsive et raisonnée tout ensemble... c'est comme ça qu'on apprécie le plus le sentiment du devoir (de création) accompli... C'est bon... Hein? Tiens, je t'en apprends une bien bonne : désormais, pour pouvoir publier des "oeuvres de l'esprit" (sic), tout fonctionnaire devra demander au préalable une autorisation de son administration de tutelle... Messieurs les censeurs... D'autant que la SF, dans le genre "mauvais genre", on fait difficilement pire (mieux?)... Subversivement tien Kiki
Salut, l'homme ! Peux-tu me dire d'où vient cette mesure ? Une circulaire ? Un décret ? En droit, une telle demande préalable ne peut, à mon sens, trouver de légitimité que dans le devoir de réserve. Donc, toute oeuvre de fiction devrait, par principe, lui échapper. La liberté d'expression fait partie du corpus constitutionnel, quand bien même son application n'est jamais absolue. L'époque est à l'abolition des contre-pouvoirs... A nous de les rebâtir. Un recours devant une juridiction administrative ? Plus de temps à perdre. Oeuvrons l'esprit, camarade !
oui oui, je vous vois venir les deux comiques. Tout d'abord quelques précisions qu'aziz saurait approuver: pour les fonctionnaires particuliers (avec étoile jaune) toute production de l'esprit est soumise à autorisation (repensez à l'adage : penser c'est déjà désobéïr), même le mariage l'était il n'y a pas encore si longtemps. Donc nous ne pouvons qu'écrire sous pseudo si nous voulons la tranquilité. Quant aux écrits plus sérieux, faut faire attention où tu poses la plume sinon tu embourbes ton avancement !! bref, la démocratie s'arrête à nos portes. Dernière flèche du parthe, nous ne sommes toujours que des demis citoyens puisque nous ne pouvons être élu qu'au prix d'une disponibilité automatique.
aziz vous renvoie tous les 3 à l'actualité recente...qui montre ou en est la liberté d'expression même quand elle est choquante... désormais larvatus prodeo comme disait l'autre ( non il ne s'agit pas de larve....quoique !!!!)
"Je suis de la race des Skalds ; dès que j'ai su que la poésie des Urniens se réduisait à un seul mot, je me suis mis à leur recherche" Borges, Le Livre de sable
4 commentaires:
Compulsive et raisonnée tout ensemble... c'est comme ça qu'on apprécie le plus le sentiment du devoir (de création) accompli...
C'est bon... Hein?
Tiens, je t'en apprends une bien bonne : désormais, pour pouvoir publier des "oeuvres de l'esprit" (sic), tout fonctionnaire devra demander au préalable une autorisation de son administration de tutelle...
Messieurs les censeurs...
D'autant que la SF, dans le genre "mauvais genre", on fait difficilement pire (mieux?)... Subversivement tien
Kiki
Salut, l'homme ! Peux-tu me dire d'où vient cette mesure ? Une circulaire ? Un décret ?
En droit, une telle demande préalable ne peut, à mon sens, trouver de légitimité que dans le devoir de réserve. Donc, toute oeuvre de fiction devrait, par principe, lui échapper. La liberté d'expression fait partie du corpus constitutionnel, quand bien même son application n'est jamais absolue.
L'époque est à l'abolition des contre-pouvoirs... A nous de les rebâtir. Un recours devant une juridiction administrative ?
Plus de temps à perdre. Oeuvrons l'esprit, camarade !
oui oui, je vous vois venir les deux comiques. Tout d'abord quelques précisions qu'aziz saurait approuver: pour les fonctionnaires particuliers (avec étoile jaune) toute production de l'esprit est soumise à autorisation (repensez à l'adage : penser c'est déjà désobéïr), même le mariage l'était il n'y a pas encore si longtemps. Donc nous ne pouvons qu'écrire sous pseudo si nous voulons la tranquilité. Quant aux écrits plus sérieux, faut faire attention où tu poses la plume sinon tu embourbes ton avancement !!
bref, la démocratie s'arrête à nos portes.
Dernière flèche du parthe, nous ne sommes toujours que des demis citoyens puisque nous ne pouvons être élu qu'au prix d'une disponibilité automatique.
aziz vous renvoie tous les 3 à l'actualité recente...qui montre ou en est la liberté d'expression même quand elle est choquante...
désormais larvatus prodeo comme disait l'autre ( non il ne s'agit pas de larve....quoique !!!!)
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